Six feet above
Je plane.
Dernièrement je réalise à quel point j’suis dure avec moi-même. La TCC me fait comprendre que j’ai oublié toute notion de plaisir et de positivité en ce qui concerne la bouffe. Je me culpabilise, je m’en veux, j’me donne des ultimatums à la con. J’suis une teigne envers moi-même.
Et envers les autres. Vendredi soir j’ai pourri Dieb. J’l’ai maltraité. C’était pas la première fois. Il est pas le seul que je maltraite. J’ai mes têtes on va dire… Je dois arrêter ça. Pour mon bien. Parc’que j’aime pas être comme ça. Parc’que c’est un putain de cercle vicieux où je dégage une image exécrable et ensuite j’ai peur qu’on ne m’aime pas et qu’on me rejette. Mais meuf ! Qui veut aimer une peste ? ? Bienveillance bordel ! Écoute ! Pardon ! Je dois vraiment apprendre à prendre du recul en situation.
J’ai passé un week-end tranquille chez moi en grande partie. J’aime être chez moi. C’est cosy. J’ai hâte de pouvoir le rendre encore plus cosy !