People Always Leave

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décembre 2009

Rien ne vaut un vrai face à face

Un bon boeuf musical avant d'me pieuter. Beethoven, Tiersen, Coldplay. Comme je les aime. Papa s'est même endormi sur son bureau. J'avais pourtant la sourdine. Je n'aime plus MSN. Pas avec William et Didier en tout cas. J'ai l'impression de pas les reconnaître. Didier est pas bavard et mesquin, le contraire de c'qu'il est en vrai. Et puis William est différent. Enfin, c'est vraiment d'la merde MSN. C'est décidé. J'y serais uniquement en HL, pour Chou, mais pour personne d'autre. Le reste, j'veux que du vrai. Hier soir j'ai passé la soirée au téléphone avec Didier. Il a illimité. (...)

I'm owned.

J'suis même pas sure que ça s'dit. Bref. Ecrit rapide parc'que j'suis KO. Pur week-end. Vendredi soir bon match de hockey. C'est mille fois mieux qu'le foot. J'adhère carrément. Et puis on a fini la soirée dans un bar sympa avec des gens nouveaux, des anciens d'la classe de ma frangine. Comme Gary, qui se trouve être super marrant. Et puis bon y'avait Seb, et son regard de tombeur. Hier soir Laser Quest avec William, Didier et leur bande. Cette fois-ci j'ai pas gagné mais j'ai bien rigolé. On a fini la soirée chez Vanessa en jouant au Pictionnary. Bon délire. Et puis dodo chez (...)

Même pas enlevé ma veste...

...que j'suis en plein bouillonnement cérébral. Ben ouais mais j'voulais écrire hier soir et j'ai pas pu. Appel improvisé de Didier. N'empêche que ça m'a fait plaisir. Et ce soir rebelote, en plein milieu d'un essayage de soutif balconné ampli-mousse et tout l'tralala. Réunion lingerie. Mieux que Tupperware. J'lai bippé un peu plus tard et on a discuté pendant une bonne demi-heure je pense, si ce n'est plus. Et cette fois-ci j'ai osé. On parlait de samedi soir pour l'anniv' de William. J'lui demande s'il m'hébergerait une fois de plus. Il me dit oui. Et direct j'lui d'mande : (...)

Fucking life !

Y'a genre 10 minutes, mon voisin est v'nu toquer à la porte. Il rentre et sort : "Bon j'commence par quoi ? La mauvaise nouvelle ou la mauvaise nouvelle ?". Là j'réfléchis pas, je dévale les escaliers. J'lui claque la bise et bam ça tombe : ils ont encore trouvé un truc dans le sein de Christine, juste au-d'ssus de là où elle s'est faite opérer. Putain de bordel de merde à la con ! Elle doit retourner à l'hosto lundi matin pour se faire opérer. P'tain ! Ces cons de médecins ont pas capté avant l'autre tumeur ou quoi ? Sont aveugles Ils veulent pas que j'leur décrasse (...)

Goeland.

Hier soir Didier et moi avons pratiquement que parlé de samedi et de notre "relation". C'qui l'dérange c'est que c'est contre ses principes. Pour lui ça s'fait pas. J'lui ai bien fait comprendre que c'est lui qui a commencé. Monsieur se défend en disant qu'il voulait juste un câlin. Mon cul oui ! Sa pipe aussi il l'a voulait ! Bref. Il m'a aussi avoué qu'il avait peur de s'attacher à moi en d'en être déçu par la suite. Il a déjà souffert pour une fille, il ne veut pas que ça recommence. Ce qui est compréhensible. J'lui ai dit que moi aussi j'ai souffert. Et que en plus c'es (...)

Sara, ou l'art de foutre la merde.

Comment dire ? Bon en gros. Hier soir anniv' surprise de William. Donc alcool. Beaucoup d'alcool. Au point de danser collé serré avec n'importe qui donc c'est que j'étais faite. La soirée se déroule bien. Jusqu'au moment au j'ai oublié de fermer le loquet de cette putain de salle de bain ce qui a causé le désastre. William est rentré. Moi allongée par terre, le Porto Bico sur moi en train de me faire tester l'effet piercing à la langue. Ben ouais parc'qu'au départ c'est pour ça qu'on s'est embrassé. Un seul regard et puis pouf ! Ressorti illico. Il a même pas capté le (...)

C'est voilà, donc voilà.

En fait, William se demandait qui pouvait bien prendre une douche à c't'heure-ci. Voilà pourquoi il est rentré dans la salle de bain. C'qui m'énerve le plus, c'est qu'il croit que s'il était pas rentré à c'moment-là, ben on aurait continué jusqu'à faire l'amour en fait. Il veut pas comprendre que c'était juste ça comme ça, que le Porto Bico et moi on va pas finir ensemble ! Qu'on était juste bourré et que j'en sais rien, c'est une pulsion. C'est un mec, il devrait savoir c'que c'est ! Et puis en gros ben c'est clair et net, pour lui, j'suis une salope. Parc'que "faut (...)

"L'absinthe comme seule étreinte..."

Début d'semaine difficile. Dur de regarder William dans les yeux comme avant. Impossible même, le premier jour en tout cas. Le deuxième jour, j'me suis dis qu'il fallait que j'fasse un effort. J'l'ai fait. Mais c'était pas trop ça encore. Mercredi, Didier étant rentré plus tôt pour un concert, William attendait à l'endroit habituel où l'on se dit aurevoir. Il me voit m'approcher. Mais là j'ai pas compris. Il tourne les talons et rejoint sa voiture, peinard. J'm'arrête net. J'attends qu'il se retourné. Rien. "Va t'faire foutre !". J'ai remballé ma bonne humeur et mis le son à (...)

X-Mas.

Ayé les fêtes de Noël sont passées. Le 24 à la maison avec les voisins, le 25 chez Mamie H et aujourd'hui chez Mamie J. C'était sympa, rien à redire. Le temps est bien passé depuis la dernière fois que j'ai écrit ici. A l'anniversaire de Maude, William avait trop bu. Il a fait une crise de suicidaire. J'sais pas pourquoi, ça lui est v'nu en 2 minutes comme ça. On avait passé la moitié d'la soirée à danser tous les deux et puis le temps d'aller chercher un verre ou j'sais plus quoi, v'là la Blonde qui arrive chez moi pour me dire que William veut s'casser, qu'il faut que (...)

"Rien ne dure..."

Parfois je repense au Ténébreux à la soirée d'anniversaire de William. Je l'avais serré fort dans mes bras, j'me sentais bien avec lui, alors qu'on ne s'était adressé un mot de la soirée. Je suis juste allée vers lui, comme attirée. J'me souviens même plus si j'lui ai demandais s'il dansait. En tout cas je l'ai serré très très fort dans mes bras et je lui ai chuchoté que je voudrais que ça ne s'arrête jamais. Plus tard en dansant, il m'a volé un baiser. Je lui ai mordu le cou mais il m'a dit "pas ici". "Dans 5 minutes, en-haut.". J'l'ai attendu dans l'ouverture de la porte. (...)

Matthieu 10, 22

Je deviens folle. J'ai encore une fois loupé mon permis. Cette fois-ci plus de faux espoirs, il a freiné je n'sais combien de fois, j'me fais pas d'illusion. Achille me punit. Je n'sais pas pourquoi, j'ai pas encore compris l'astuce. J'sais pas c'qui lui faut de plus. J'vais devoir me retaper l'autre conne jusqu'à la prochaine date. Mais bon j'irais pas en vainqueur au prochain passage, j'ai tellement souvent vérifié la théorie du "jamais 2 sans 3". J'ai envie d'me tirer une balle. En parlant d'suicide, j'ai parlé à William sur MSN hier soir. Ce Monsieur ne va pas bien du tout (...)