Et là un deuxième promeneur, féminin, les cheveux en révolution syndicale, et à dos de licorne, arrive et ordonne à sa fidèle monture de couper la corde.
Je te fais un gros câlin, Sara, et je te dis :
"Je ne te juge pas, mais si je devais le faire je ne te verrais QUE comme une fille indépendante, avec un courage et une volonté démesurés (dans le bon sens), qui sait prendre sur elle pour arriver là où elle veut et qui AGIT.
Et ça dans le monde actuel, c’est plus qu’une qualité : c’est un don. Un don que tu exploites grandiosement bien."
Je ne sais pas si tu auras un article sur Wikipédia, mais tu as un journal sur le net qui est suivi par des gens qui t’admirent énormément (je ne peux pas être la seule à me rendre compte de ce que tu dégages et seule à t’admirer, je le sais).
Tu es une bosseuse, tu n’hésites pas à provoquer la chance pour qu’elle sorte de son terrier, tu la tires toi-même de là et tu lui dis "COUCOU" (bon j’ai pas trouvé de réplique inspirante mais t’as compris le truc).
Tu la forces à travailler pour toi. Et ça marche.
Les coups de blues sont normaux, personne n’y échappe. Mais j’espère avec ce message que tu comprendras à quel point tu es une personne de qualité, avec des valeurs fortes, et que tu as réussi à apprivoiser la chance - doit y avoir une personne par million qui arrive à le faire.
C’est évident que tout ça va payer, ma grande !