Je n’ai pas lu les écrits ni rien, donc je loupe sans doute un épisode, mais je trouve ce que tu dis, Lb05, assez "atroce".
En effet les lesbiennes ne sont pas des "p*tes en manque", mais d’où tu parles de "code d’honneur" ? ! et de "milieu" ?!
C’est d’autant plus moche à dire "il en reste quelques unes de mature et censées"... Je veux dire, lesbiennes, bis, gays, hétéros, tout le monde est pareil ! Il n’y a pas vraiment de 'milieu' différent et comme partout il y a toute sorte de gens. On ne peut pas coller ce genre d’étiquette sur toute une orientation sexuelle.

Lol Deirdre...
Ton intervention est tout à fait louable mais le terme p*te etc. provient de l’article commenté et Lb05 est elle-même lesbienne…

Je pense donc qu’elle sait de quoi elle parle et que d’autant plus, c’est sans jugements, sans méchancetés.
Elle répond à l’article en question, auquel elle fait référence, lis-le, tu comprendras surement ;-)

Bien à vous toutes, Sara, Lbo5 et Deirdre,

J’aime les enfants, j’aime. Allez, battez-vous ! Oui, mords-lui l’nichon ! Par les ch’veux oui ! Dans la… ah, pardon.

Bon, treize lignes avant ça je parlais aussi d’un autre couple de goudou très mature, très naturel et très sensé. Evidemment qu’une assistante de direction goudou ne va pas faire touche pipi à sa patronne pour lui dire bonjour de même qu’une infirmière lesbo ne va pas profiter d’une patiente paralysée pour lui faire un broute-minou. C’était dans le contexte. Ambiance chaude dans un souterrain aménagé où on sait TOUS qu’les goudous en manque (autant qu’les gays) c’pas c’qui manque. Ca réveille des pulsions, des envies et des comportements mammifères et reptiliens.

Bref. C’est quand même un "monde" à part, tout comme les monde des musicos, des gosses, des collectionneurs de poupées en porcelaine ou des cocaïnomanes. Toute communauté a ses traditions, ses us et sa culture propre. Y’a pas "d’étiquette" mentionnée ici.

Mais vous pouvez rebondire là-d’ssus. L’arène est ouverte.

Bah, autant pour moi. Je n’ai dis que ce que m’inspirais ce que je venais de lire. En précisant ne pas avoir lu les écrits de la détentrice de ce journal, donc en sachant pertinemment qu’il y avait des chances que je fasse erreur.