People Always Leave

Ecrit en vitesse.

Je poste ça maintenant parc’que j’ai peur d’oublier.

Ce matin, à 8h12 : "En ce matin ensoleillé, le regard tourné vers l’Est, mes pensées dérivent vers une demoiselle au caractère bien trempé comme l’acier et au coeur bondissant. En ce jour célébrant sa venue ici bas, je ne peux que lui donner avec ces mots une part de cette tendresse particulière que je lui réserve...bon et doux anniversaire Sara^^".

Hier soir j’arrêtais pas de me demander s’il allait oublier ou pas. A la limite j’m’en fous, ça aurait confirmé c’que j’pense. Mais non, il a été un des (dix) premiers à me le souhaiter. J’ai pas su répondre sur le coup, en plus j’étais en cours. A midi j’ai donc décidé de l’appeler, le coeur battant. Bip...Bip...Bip..."Vous êtes bien sur le répondeur de...". Je réessaye. Bip...Bip...Bip..."Vous êtes bien sur le...". Ok. Tant pis, j’vais pas insister. J’lui laisse donc un message pour le remercier du texto.

Ce soir, à 17h12, alors que j’étais en train de rouler avec ma nouvelle monitrice, je sens mon portable vibrer dans ma poche. Mince, c’est surement lui ! Tant pis, je rappelerai plus tard. Ce que je fis environ 1h plus tard.

Voilà, je sais pas, 6 mois qu’on s’était pas parlé au téléphone. Et là c’était comme si on était amis depuis toujours. Il m’a avoué que quand il a vu que j’avais appelé il s’était dit que ça f’sais tellement longtemps qu’on avait plus discuté, même au téléphone. Mais parait-il, il n’appelle plus personne en c’moment alors bon… Voilà. On a discuté, on s’est rappelé plusieurs fois parc’qu’il était dans son train et le réseau était mauvais. Mais on a su se dire certaines choses. Au moment voulu, j’ai pas osé lui dire que j’pensais souvent à lui, parc’que visiblement il en doutait. Ce s’ra pour une prochaine fois.

Il voulait me rappeler ce soir, au calme, mais je dois me préparer pour aller au bowling. Peut-être le verrai-je encore sur MSN. Mais bon, pas de nuit blanche ça c’est sur, faut que je me lève tôt demain. Une grosse journée m’attend.

Bref, faut que j’aille me laver. Je réécrirai en rentrant, j’ai plein d’autres trucs à écrire.

Il m’a aussi dit "Coment pourrais-je l’oublier..." à la question "Tu t’en es souvenu ?". Je saurai pas expliquert ce que je ressens à ce moment précis. De la joie ? Du regret ? De l’envie ? De la hâte ? De la nostalgie ? Un peu de tout ça certainement.

Ok ok, j’arrête. Allez, à plus tard.