People Always Leave

Divenire Einaudi.

Il y a ton sourire qui s’élève, c’est comme une lueur d’espoir. Il y l’ombre et la lumière, au milieu notre trajectoire. Fallait choisir une route alors on a choisi la pluie. Acide à s’en brûler le coeur, pourvu que planent les esprits. Il y a tes yeux qui me tuent quand tu me dis que c’est fini. Il y a le vent de nos sanglots qui souffle pour une amnistie. Mais rien n’arrêtera la lutte, rien ne sèchera cette pluie. Non rien ne finira la chute, rien ne fini l’infini. Il y a les lois de l’empire et les trous noirs dans ma mémoire. Il y a le meilleur et puis le pire, au milieu notre trajectoire. Combien tu vends ta liberté ? Dis, combien tu vends ta poésie ? Moi j’ai même vendu mon âme au Diable pour ton sourire. Puisque tout est aléatoire dans le chaos des univers. Puisqu’insoluble est la réponse et puisque déjà me manque l’air. Mais qu’importe les directions, jusu’au-delà de la limite. Tous les chemins mènent à tes yeux, tous les chemins mènent à la fuite. Rien ne désserra nos mains. Rien n’éteindra l’éphémère. Nous forcerons nos destins et puis nous percerons les mystères. Rien ne desserra ces poings, l’univers, l’univers. Nous trouverons nos chemins, nos idées et l’univers.

Il y a ton sourire qui s’élève, c’est comme une lueur d’espoir. Il y a l’ombre et la lumière, au milieu notre trajectoire. Fallait choisir une route, alors on a choisi la pluie. Acide à s’en brûler le coeur, pourvu que planent nos esprits…