People Always Leave

Polichinelle.

Si seulement les journées pouvaient durer 30h au lieu des 24h habituelles. Ca m’arrangerait bien des choses. Mon concours de piano est dans exactement dix-sept jours et, comment dire, je déchiffre à peine le deuxième morceau. En plus de ça je dois préparer une présentation de mon thème de deuxième année pour la s’maine prochaine, et, il en convient donc, je devrais avoir fini mon dossier d’ici là. Vendredi j’ai mon concours d’ingé, je me suis donc mise à réviser, moi j’appelle ça comme ça en tous cas. J’ai au moins dix kilos à perdre, si ce n’est quinze (trois ans qu’j’suis pas montée sur la balance...). Des pointes rebelles et fourchues à couper (trois ans qu’j’ai pas vu un vrai coiffeur...). Une bibliothèque à lire (nan, j’exagère, mais si j’continue à accumuler des bouquins inlus (ben ouais), j’s’rais pas si loin de cette réalité).

Jack a lu mon bulletin aujourd’hui. Remarque en Qualité/Sécurité : relâchement total ce semestre, préfère se consacrer aux mots fléchés ! Aïe. Mon trou d’balle le sent encore. Quel ordure ce type ! A part lire ses PowerPoint à la con faut dire qu’il a pas su faire beaucoup plus que moi. J’ai pas cherché d’excuses devant Jack. Il est pas dupe et loin d’être con. Ce qui revient au même.

Thomas a mangé à côté de moi à midi. Première fois. Ben voilà quoi.