People Always Leave

Maelström.

Aujourd’hui je suis heureuse.

Magnifique. Il est magnifique. Je l’adore. Je l’admire. Je le contemple. Je le dévore. Je le sens. Je le renifle. Je le hume. Je l’entends. Je l’écoute. Je lui souris. Je lui ris. Je lui murmure. Je lui parle. Tout ça me suffit.

J’m’en fous de pas pouvoir le toucher, le goûter, l’embrasser, lui donner du plaisir, en recevoir de lui. I don’t care. Ca n’me touche pas qu’il me dise que sa gonzesse sait quand elle doit zapper avant qu’il s’énerve devant un reportage. Tout comme quand il m’a raconté ses expériences sexuelles. Son bonheur fait le mien. C’est tout.