People Always Leave

Resume.

Aujourd’hui j’ai vu un kangourou. Un vrai. Pas dans un zoo, nan. Sur une île où il y a des kangourous en liberté. C’était vraiment cool. J’y étais avec Claire. Elle m’fait bien marrer cette fille et on a exactement la même façon de voir les choses et plus ou moins les mêmes objectifs. Comme elle a dit aujourd’hui, on va surement faire un p’tit bout d’chemin ensemble.

Bon. J’vais quand même parler de Reh et moi. Mercredi soir, quand on est rentré si tard, ou si tôt, il voulait encore mater un film. Comme je n’ai que des films VF, j’ai téléchargé les sous-titres en anlgais de Léon. Ca allait au début, et puis après c’était plus du tout synchro. Du coup j’ai fait la traduction du reste du film. C’était bien, c’était marrant. On était couché côte à côte. Son bras gauche coincé sous ma tête. On était bien. Et puis quand le film était fini et qu’il a fallu enfin dormir à 7h du matin, il est resté avec moi dans le lit. Jusque là rien de méchant. Le lendemain soir, il est rentré alors que j’étais déjà couchée. Il m’a demandé s’il pouvait me rejoindre et j’ai dit oui. Et là les choses se sont corsées. Il a cherché à m’embrasser. J’l’ai tout d’suite refoulé. On parle. J’lui d’mande ce qu’il attend de moi, ce qu’il veut réellement. Rien, il veut être mon ami, il m’aime vraiment beaucoup, il ne veut pas me blesser. Okay. On s’remet au lit. Finalement il parvient à ses fins après plusieurs tentations. Donc tout ce week-end s’est passé de cette façon : il travaille de nuit donc il rentre le matin vers 7 ou 8h. Il prend une douche et me rejoint au lit. On s’embrasse et se câline pendant 1 ou 2h et puis on se rendort. Disons en fait que j’me laisse faire, je n’vais pas le chercher. Par contre, quand ses caresses commencent à descendre trop bas sur mon ventre, j’l’arrête. J’veux pas de sexe avec lui. Le sexe change tout. Le sexe c’est la fin, l’ultime. J’veux pas d’ça avec lui. J’veux qu’ça soit mon pote, mon vrai pote, mon ami. Ca l’est, sauf qu’on s’embrasse et qu’on dort ensemble. Euhm, pas très clair…

Pour délirer, j’ai écrit à Mimi et Hélène que même pas une s’maine en Australie et déjà un homme dans mon lit. C’est bête et prétentieux, mais vrai.